Les empreintes digitales constituent des éléments de preuve parmi tant d'autres pour identifier un malfaiteur. La police scientifique a des outils perfectionnés pour voir, saisir et relever les traces de doigts laissées sur une scène de crime ou d'un délit. Pour relever les empreintes, il suffit de verser de la poudre blanche, de la poudre noire si la surface est de couleur blanche et de la poudre fluorescente si la surface est multicolore sur le lieu du crime ou bien se servir d'un crimescope qui est une lampe laser. D'après les scientifiques, l'empreinte digitale est personnelle, une caractéristique propre à chacun.
Le dactylogramme est un outil d'identification ultra rapide, fiable, et moins couteux de l'empreinte digitale par rapport à un test ADN ou à une autopsie par exemple. Quatre genre d'identification sont possibles à travers les empreintes digitales. Il y a l'identification d'un individu par la comparaison de ses empreintes avec une base de données, l'identification d'un suspect avec la comparaison des empreintes relevées sur les lieux du délit avec celles de la base de données, la mise en cause d'un individu dans les délits commis dans le passé, et enfin, preuve que plusieurs délits ont été commis par une seule et même personne non identifiée. Cependant, cet outil de recherche a ses limites puisque dès fois, il arrive que les empreintes relevées sont imprécises, incomplètes ou difficiles à lire. Pour y remédier, il faut les combiner avec les autres méthodes d'identification.
Auteur : Maxime
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